Bos, Peter


Personalia

Achternaam Voornamen Geboorte datum Naam vader Naam moeder
Bos Peter 12-02-1919, Heerhugowaard [-], [-] [-], [-]

Legioen periode: [-] - 1945

No Matricule Engage Libere Libere Plaats
[-] [-] [-] [-] / [-] 25-01-1945 / Mort pour la France (gesneuveld) Bois d'Elsenheim / Frankrijk

Biografie


Jeugd


Peter Bos werd geboren op 12 februari 1919 in Heerhugowaard.

1945. Bois d’Elsenheim

Op 25 januari 1945, 25 jaar oud, sneuvelde Peter Bos in het bois d’Elsenheim (Bos van Elsenheim) door een éclat de mortier (mortiescherf).
Hij diende op dat moment in het Franse Vreemdelingenlegioen bij de 13e 1/2 Brigade de Légion Etrangère.
Voor deze periode in de geschiedenis van de 13e DBLE was het meer gebruikelijk te verwijzen naar de individuele bataillons als:

1e, 2e een 3e bataillon de Légion étrangère (BLE).

Bij welk van de bataillons Peter Bos diende is nog niet helemaal zeker, op basis de plaats en datum van overlijden waarschijnlijk bij het 2e BLE.

De gevechten om het bois d’Elsenheim maakten deel uit van de strijd om “la Poche de Colmar”.

Een andere Nederlander die deel nam aan de gevechten om bois d’Elsenheim was Leonard Tixier.

23 tot 31 januari 1945. Poche de Colmar

Op 23 januari 1945 opende de 1re Division Française Libre (1re DFL) de aanval op de door de Duitsers bezette Poche de Colmar naar het oosten. Het doel was het bereiken van de rivier de Rijn. Bij deze aanval kwam men tegenover vier bataljons te staan van de 708. Volksgrenadier-Division die gesteund werden door zware tankjagers en artilleriegeschut. De Duitsers hadden een diepe verdediging opgezet door gebruik te maken van posities in de kleine plaatsjes en de bossen om van daaruit de open gebieden voor hen te controleren. Daarbij probeerden ze ook de Franse vooruitgang te vertragen en te kanaliseren door het aanleggen van vele mijnenvelden.

Twee Duitse bataljons voerden aan het einde van de middag op 23 januari een tegenaanval uit op de Franse bruggenhoofden over de rivier de Ill die echter werden afgeslagen.
De 1e brigade van de 1re DFL kreeg de opdracht om zich te concentreren op de weg van Illhaeusern naar Elsenheim, waarlangs men wilde optrekken om zo de ingegraven Duitse infanterie en artillerie in de bossen rond Elsenheim te vermijden.
Op 26 en 27 januari concentreerde de 1e brigade zich op het openen van deze route en trok het om de bossen van Elsenheim heen.
Deze bossen vormden een obstakel, waar het 3e bataljon van het Franse Vreemdelingenlegioen (3e BLE) op 27 januari een belangrijke aanval op ondernam.
Op 28 januari 1945 werd met ernstige verliezen en met ondersteuning van tanks van de 2e division blindée het dorp Grussenheim ingenomen.
Ondanks een afbrokkelende Duitse weerstand kwamen de Fransen moeizaam vooruit maar op 31 januari 1945 namen ze de dorpen Elsenheim en Marckolsheim in en bereikte ze de volgende dag de rivier de Rijn.


Situatie schets.
In het oosten de rivier de Rijn (Rhin)
In het westen de rivier de Ill.
Noordelijk Illhaeusern en het Bois de Elsenheim.
Meer oostelijk ligt het dorp Elsenheim.
De opmars en aanvalsroutes van het 1e, 2e en 3e BLE zijn aangegeven.
[ Carte des combats de la “13” dans le secteur de Sélestat ]

2e BLE

Voordat het 3e BLE het Bois de Elsenheim op 27 januari 1945 aanviel, had het 2e BLE bij hun opmars op 24 en 25 januari 1945 daar al zeer zware verliezen. De commandant van de eenheid Simon [1] schreef hier later over:

L’affaire du bois d’Elsenheim (24-25 janvier 1945)

Le bataillon Simon ( 2e BLE) quitte Illhaeusern au petit matin.
Des chars T.D. du 8e R.C.A. assurent la protection des légionnaires.
La petite garnison du moulin de Ried n’oppose qu’une résistance symbolique aux hommes de la 6e compagnie.

Moulin de Ried. Riedmühl


De leur côté, les 5e et 7e compagnies s’emparent de la corne ouest du bois d’Elsenheim.
Toutefois, leur progression est arrêtée en fin de matinée par le tir nourri des armes automatiques provenant des fortins enterrés.
Par ailleurs, les Allemands ont posté des chars pratiquement invisibles, qui interdisent toute manœuvre de contournement.
Le commandant Simon décide d’engager tous ses hommes. Malgré leur allant les légionnaires n’arrivent pas à entamer la défense ennemie.
Toutes les tentatives échouent et de surcroît les tireurs isolés, juchés dans les arbres, empêchent tout mouvement.
En fin de journée, les 5e et 7e compagnies sont réduites respectivement à 32 et 28 hommes.
Elles ont perdu plus de 50 % de leurs effectifs.
L’ennemi résiste pied à pied.
Bien plus, il lance une série de contre attaques avec l’appui de l’artillerie entre 17h et 20h30.
Il poursuivra son action jusqu’à minuit. Les légionnaires sont épuisés.
En 24 heures, plus du quart du bataillon a disparu: 37 tués, 9 disparus et 142 blessés.

Bois d’Elsenheim op Duitse Stafkaart
[ Coll NLLegioen.
O. Stabsartz Dr. Roth ]

Een ooggetuige zou later nog berichtten:

Domingo Lopez, caporal, 2e bataillon, 13e demi-brigade de la Légion étrangère

« Depuis que nous faisions la guerre, il nous semblait que nous n’avions vu des combats plus durs que ceux-là. Mètre à mètre, nous arrivâmes à un moulin où les boches laissèrent quelques-uns des leurs, morts ou blessés. Ceux des mitrailleuses lourdes restèrent là pour appuyer l’avance de l’infanterie légère qui, avec la compagnie de mitrailleuses légères, irait à l’attaque du bois d’Elsenheim.
Ils auraient à traverser une bande de terrain complètement plate d’environ 300 mètres.
La 6e Compagnie partit devant et lorsqu’elle fut à mi-chemin, elle fut surprise par le feu d’un tank qui, caché près de là, leur coupait le passage.
Nos compagnons se jetèrent à terre, restant collés au sol ; pas un seul ne bougeait pendant que les projectiles tombaient au milieu d’eux, faisant un véritable carnage. Lorsque le feu cessa il y avait plus de trente vides dans la compagnie. Mais ils ne s’arrêtèrent pas pour si peu et continuèrent en avant jusqu’à entrer dans le bois et livrer un combat furieux contre les Allemands qui se défendaient depuis des casemates faites avec de gros troncs d’arbres.

Trois jours et trois nuits d’horreur, d’attente angoissée heure après heure, sous une canonnade terrible, avec seulement quelques minutes de sommeil agité duquel nous sortions toujours en sursautant l’horreur dans les yeux, et tout cela par une température de -20 °C. Les quelques hommes qui en sortirent, ce fut par miracle.
Un obus éclata à seulement deux mètres de l’endroit où Salaverri s’était plaqué au sol. La déflagration de l’air le souleva et les éclats lui volèrent autour du corps, lui causant seulement une petite blessure à l’épaule. Plus tard nous comptâmes les trous de sa capote, il y en avait 14.
Lorsque la relève arriva nous étions à bout de forces.

Sur un effectif de 900 hommes, seuls 105 étaient sains et saufs.
Plus de 300 morts et près de 500 blessés.
Notre bataillon était anéanti. Et tout cela en seulement trois jours et trois nuits. »

Militaires décédés au cours de la Seconde Guerre mondiale

Peter BOS
Mort pour la France le 25-01-1945 (Au Bois de Elsenheim)
Né(e) le/en 12-02-1919 à Heerhugoward (Pays-Bas)
25 ans, 11 mois et 13 jours
Carrière
Statut militaire
Unité 13e 1/2 Brigade de Légion Etrangère
Mention Mort pour la France
Cause du décès tué par éclat de mortier
Sources Service historique de la Défense, Caen
Cote AC 21 P 27467

In the operational sector of the French First Army’s French II Corps, French and American forces waged a difficult battle to expand the bridgehead over the Ill River.
During the day 24.01.1945 , French units were halted by German tanks hidden in the forest near Elsenheim.

Sur la gauche du C.C.6 et pratiquement alignés sur lui, les bataillons de la 13eme D.B.L.E., déjà éprouvés par la prise d’Illhausern s’attaquent eux aussi à de solides résistances dans le bois d’Elsenheim et à Grussenheim.
Le 29, les Allemands lancent une ultime contre-attaque pour tenter de reprendre Grussenheim au 1er bataillon de Légion étrangère. Le bataillon de Sairigné est exsangue mais il tient bon…
Du 24 au 28 janvier, la 13eme D.B.L.E. a eu cent un tués, cinquante-sept disparus, trois cent cinquante-six blessés et cent quatre-vingt-huit évacués sanitaires, la plupart pour des gelures.

[ Libération de Colmar : La part de la Légion Képi blanc : mars 1995 p44-47 ]


Schwere Panzerjäger-Abteilung 654

Die Kampfgruppe Blasius mit neun Jagdpanthern traf am Morgen des 24. Januar 1945 in Rufach ein und wurde in den Vormittagsstunden beschleunigt nach Elsenheim in Marsch gesetzt und auf Zusammenarbeit mit dem Grenadier-Regiment 748 angewiesen.
Der Auftrag der Kampfgruppe lautete, feindliche Durchbrüche des bei Illhäusern über den Fluß getretenen Feindes zu verhindern. Die Kampfgruppe setzte daraufhin sechs Jagdpanther im Raum des Bois de Elsenheim ein und drei Jagdpanther in Bereitstellung im Ort Elsenheim.







Legioen eenheden: [-] - 1945

Van Tot Regiment Bataljon Compagnie Plaats Land
13 DBLE 2 BLE



Legioen onderscheidingen

Onderscheidingen Datum Uitreiking


Info

Verder onderzoek gaande, heeft U meer informatie laat het mij weten via: info@nllegioen.eu

Datum:

Bronnen

[1] A.L.E., Compte-rendu du commandant Simon sur les opérations du 23 au 31 janvier 1945.
[2] Necropole Sigolsheim